29 juin 2004
Ego insoupsonné
Ne sombrer jamais, au grand jamais
Dans l'illusion de me connaître
Car moi-même ne saurais expliquer
Ce qui est devenu mon maitre
Soyez simplement guetteur de mes faits
Car je ne sais plus, ni qui, ni où je suis
Comme aveuglé, sorti d'un sombre puit
Distinguant une vie totalement vidée
Les ombres grandissantes m'interpèlent du coin de de l'oeil
Et les morts m'infligent leurs terribles supplices
Je me soumet, en toute quiétude, à leur divin malèfice
M'enterrant de mon chef et couchant dans un cercueil
Rien n'explique la suite si du moins elle ne se ressent
Contemplez mon froid visage qui se tord
Et vie là où jamais il ne se repent
Du bonheur insufflé à tout ces précieux morts
Gardez le monument de ma démence
Dans votre coeur où m'appartient la plaie
Eternel comme le gout de l'humaine essence
Qui dans ma bouche s'y est siégé
Dans l'illusion de me connaître
Car moi-même ne saurais expliquer
Ce qui est devenu mon maitre
Soyez simplement guetteur de mes faits
Car je ne sais plus, ni qui, ni où je suis
Comme aveuglé, sorti d'un sombre puit
Distinguant une vie totalement vidée
Les ombres grandissantes m'interpèlent du coin de de l'oeil
Et les morts m'infligent leurs terribles supplices
Je me soumet, en toute quiétude, à leur divin malèfice
M'enterrant de mon chef et couchant dans un cercueil
Rien n'explique la suite si du moins elle ne se ressent
Contemplez mon froid visage qui se tord
Et vie là où jamais il ne se repent
Du bonheur insufflé à tout ces précieux morts
Gardez le monument de ma démence
Dans votre coeur où m'appartient la plaie
Eternel comme le gout de l'humaine essence
Qui dans ma bouche s'y est siégé
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